Non.
Une fois de plus, on ne décernera pas de prix Nobel à ces quatre zigotos pour les phénoménales avancées artistiques qu'ils nous offrent.
Vous l'aurez deviné à la couverture, c'est bel et bien un death metal crados et régressif à souhait, très légèrement mâtiné de doom, que Bocc joue ici.
La première influence assez évidente de ces jeunes basés à Barcelone, c'est les japonais de Coffins.
Si vous êtes amateurs du genre, vous ne devriez pas détester ces riffs à deux notes et demi, ces parties légèrement plus rythmées façon marche des fiertés des déficients mentaux, et ce groove graveleux de bon aloi.
Le son est relativement puissant tout en restant naturel, comme il sied à ce genre de production extrêmement raffinée.
Et si vous tenez réellement à vous enrichir culturellement, vous pouvez aller vous renseigner sur le martyr de Sainte Eulalie de Barcelone.
On avait vraiment le sens festif en ce temps là.
mardi 25 mai 2021
BOCC - Santa Eulàlia
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire